mercredi 6 janvier 2010

Rencontre de l’Occident et de la Chine

A ne pas manquer : Jean-Louis nous fera partager ses connaissances et son enthousiasme lors d'une conférence, samedi 23 janvier 2010 à 15 h à Marseille (Espace Culture de La Canebière)




Chinafi propose deux conférences sur ce thème les samedi 23 janvier et 27 février 2010 à l’occasion du 400ème anniversaire de la mort de Matteo Ricci.
La 1ère conférence, présentée par Jean-Louis Chary, le 23 janvier nous mènera du 2ème siècle avant Jésus Christ à l’arrivée de Matteo Ricci en Chine dans la seconde moitié du XVI° siècle. Elle permettra de découvrir l’histoire de ses prédécesseurs qui étaient des marchands, des missionnaires, des diplomates, des guerriers, des navigateurs - empruntant cet axe mythique qui reliait l’Orient et l’Occident : la Route de la soie. Remontant aux origines de la fascination que la Chine exerce sur l’Occident, par ses légendes et ses mythes, nous tenterons de comprendre comment s’est opérée la rencontre entre deux visions du monde, entre des religions d’origine étrangère (bouddhisme, doctrines persanes, islam, christianisme) et des courants de pensée propres à la Chine (confucianisme et taoïsme).

Cette année 2010 commence très fort! Venez nombreux.
新 年 快 乐

6 commentaires:

Nicole a dit…

Quel programme!!!
je serais présente sans faute !!!
c'est incontournable et puis depuis que j'en entends parler je ne peux sous aucun pretexte me défiler
il faudra lors de notre rencontre du 17 en parler à nos amis chinois afin que le débat qui suivra la conférence soit riche d'échanges

Olivier a dit…

C'est noté dans mon agenda.
J'y serai.
Bonne préparation.

Navette TGV Soleil a dit…

Dommage que je ne pourrais pas être là. Pensez à le filmer les présents et pour partager avec nous et les autres.

Bonne conférence!

Jean-Louis a dit…

Cher TGV navette soleil, tu seras un peu avec nous samedi.
Jean-Louis

marie-claude de st zach a dit…

jean-louis j'ai affiché l'annonce de la conférence, à défaut d'être là.

Jean-Louis a dit…

Merci beaucoup, chère Marie-Claude et à bientôt,
Jean-Louis