Qui
a transformé, autour du lac, en paravent de jade blanc,
Les
dix mille replis verts des montagnes en face de la salle du sud ?
Ivre
le vieillard, dans sa folie riant tout
seul,
Avec
sa canne en bambou dessine des caractères,
La
cour en est toute remplie
Lu
Yu
Aube de neige ce matin dans le Vaucluse
Le vieillard ivre
4 commentaires:
Qui peut être ce "vieillard ivre"? Clément lit par-dessus mon épaule et a reconnu "ni hao" dans cette calligraphie éphémère.
"L'odeur du buis, le son du glas,
Un temps de neige, un soir d'ivresse
M'attristent moins que la tristesse
Des moulins qui ne tournent pas !"
poème de Gaston Couté que j'affectionne particulièrement
Nicole
Merci pour ce beau poème.
Il me semble que tu avais déjà cité Gaston Couté, mais je ne me souviens plus à quelle occasion.
Tristesse des moulins arrêtés. Heureusement Chinafi est un moulin qui tourne bien avec beaucoup de grain à moudre.
Jean-Louis
PS Je suis heureux de voir que tu peux à nouveau mettre des commentaires.
Je t'avais passé il y a très longtemps les bouquins du poète G Couté (fils de meunier)
Quelle surprise, aujourd'hui la Saint Gaston!!!
Nicole
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